Quand le Kenya prête ses services au Core Group pour aider la police haïtienne
Le Kenya, pays africain qui se situe dans l’est du continent africain et a pour pays voisins, au nord le Soudan du Sud et l'Éthiopie, à l'est la Somalie, au sud la Tanzanie et à l'ouest l'Ouganda, a « accepté de considérer d'être le chef de bande sur "l'invitation d'un groupe d'amis d'Haïti" aux fins de mener une intervention policière et armée en Haïti. Qui dit groupe d'amis dit Core Group qui depuis longtemps ne savait où donner de la tête pour arriver à envoyer une force militaire en Haïti. Le Kenya, ayant ses propres bouleversements socio-politiques et une force de police qui laisse à désirer, se gratte la tête --pour ainsi dire--avant de se laisser entraîner dans une aventure aussi imprévisible que peu attrayante ou les forces en présence sont loin de se courber devant des pressions de part et d'autre. En effet, dans sa note officielle (du ministère des Affaires étrangères), le Kenya dit attendre un agenda ou bien une feuille de route concise quant à sa mission en Haiti, ceci, venant de l'ONU. C'est à se demander si la Chine ou la Russie vont encore une fois adopter de par leur veto au Conseil de sécurité leurs principes de non-ingérence dans les affaires internes d'un autre pays.
Pendant ce temps, le secteur populaire se soucie du fait que nombre de rapports médiatiques accusent la police de Kenya de brutalité systémique, se demandant si ce n'est pas du KOURI POU LA PLI TONBE LAN BASIN (Courir pour s'abriter de la pluie et tomber ensuite dans une mare d'eau). Le CORE group ne parle parle point de ce qui pourrait amener la paix en Haiti: par exemple de leur exploitation continue de la misère du peuple haïtien en complicité avec les vassaux indigènes qui jouissent de l'impunité même après avoir assassiné un président haïtien qui manifestait tant soit peu une velléité de travailler pour les masses haïtiennes. Et le PM de facto Ariel Henry de déclarer ensuite avoir parlé ("au nom du peuple haïtien") avec le président du Kenya de ce nouveau complot tramé contre le peuple haïtien"pour ainsi dire.
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Un parent portant son enfant après l'avoir récupéré à l'école, passe devant la police alors qu'elle mène une opération contre des gangs dans le quartier Bel-Air de Port-au-Prince, Haïti, le vendredi 3 mars 2023.AP - Odelyn Joseph
Crise provoquée par les étrangers comme l'assassinat du président Moïse aux fins d'occuper Haiti et voler ses ressources naturelles (vox populi). Et des causes profondes telles perçuespar un observateur unique dansThe Truth about Haiti (en francais)
"On est le 2 janvier. C'est le “Jour des Aïeux”, jour du souvenir des Héros illustres & anonymes de la Patrie qui ont versé leur sang pour l'accomplissement des idéaux de Liberté, d'Égalité, de Fraternité des humains. Gloire éternelle à eux !"#Haïtinaute
Cette page sera mise à jour autant que possible pour vous informer de l'évolution de la crise de gouvernance en Haïti après le renvoi du PM Jean-Henry Céant par la chambre basse du congrès haïtien suite aux manifs de février 2019.
Videoclips, en bas, d’une crise qui culmine : une voiture blindée de la police est saisie par des manifestants ce dimanche 23 février 2020
(1) Une vidéo montrant en haut un mouvement de foule se dirigeant vers le palais national en Haiti ce mercredi 13 février 2013. (2) Michel Soukar, historien, au sujet du PM Jean Henry Céant